Mais c'est qu'il y a de l'anticipation sur le blog ! et pas que pour Noël. Voila pourquoi il a neigé. - rires - 

La vraie raison, c'est le hasard des courses. 

Au milieu des chocolats de Pâques - que je fuis comme la peste d'ordinaire, en cause la piètre qualité du chocolat - j'ai vu des pièces en chocolat. Niveau chocolat infecte, j'ai la palme avec cet achat. Ces chocolats saisonniers bas de gamme qui piquent la gorge tant ils sont sucrés , nous les fuyons même s'ils sont jolis avec leurs papiers brillants pour la chasse aux oeufs. Ce boycott passe très bien aux yeux de notre fille qui est ravie de voir le stock de coquilles d'oeufs augmenter, présage d'un atelier peinture et une chasse aux oeufs moins conventionnelle. 

Troc d'euros contre euros en chocolat, j'avais matière à composer un petit goûter pour fêter la saint Patrick. 

La surprise a capoté quand une petite souris a mis la main sur le filet de pièces en chocolat et qu'il a fallu que je lui dise "pas touche, c'est pour le 17 mars". Pour acheter la paix sociale, je l'ai mise dans la combine et nous nous sommes dévoués pour grignoter. 

Un pot en papier rayé, la fameuse pièce en chocolat, et le trèfle réhaussent la glace et les macarons à la pistache pour donner un air de fête irlandaise à ce goûter. 

La verdure n'est autre que du blé qui pousse pour Pâques (les plus mal chanceux auront la garantie d'y trouver des oeufs). Chocolat et euros se cachent dans les tiges, de quoi s'amuser avec cette drôle de monnaie et mettre de la vraie dans la tirelire. 

A défaut de savoir faire pousser de l'argent ... - rires - 

P.S. : le pot rayé se plie aussi à la version pastèque. 

* Photos - C'est bientôt Noël *