Il y a fort à parier que ce week-end une bonne partie d’entre vous allez acheter un sapin.

5,5 millions de sapins naturels vont être achetés en France que ce soit en pot, en motte ou coupés.

Les deux variétés les plus courantes sont l’épicéa et le Nordmann.

L’épicéa a des aiguilles fines, sa parure est bien verte, il porte une réelle odeur de sapin, son coût est bas mais hélas il lui fallait bien un défaut : ses aiguilles tombent à la vitesse grand V.

De son côté le Nordmann a des aiguilles plus épaisses qui restent sur les branches. Et cet avantage se paie. Autre bémol, pour l’odeur de sapin dans le salon il faudra repasser.

Entre l’épicéa de notre enfance et le Nordmann qui dure, chacun y trouve son compte.

En moyenne, l’arbre de Noël coûte 25 €, comptez 28 € pour un Nordmann et 17 € pour l’épicéa. 

Les sapins que l’on trouve en vente sont issus de culture et non de déforestation. Ils proviennent essentiellement de pépinières françaises (Morvan, Rhône-Alpes, Bretagne, Massif Central) et 15 à 20 % arrivent de Belgique, Allemagne, Irlande, Danemark.

Entre la graine et le sapin d’1,50 m il s’écoule 10 ans.

Choisissez bien votre arbre de Noël et gardez en tête que si vous cherchez le plus élancé et le plus large, il faut toutefois qu’il soit proportionnel à votre pièce. Vous risqueriez de déchanter, c’est bien souvent le cas ave les sapins vendus sous filet, quand on retire le plastique, comme par magie le sapin en impose tellement qu’on en arrive à se demander s’il était judicieux de tergiverser et comparer tous les sapins pour prendre le plus gros. 

Assurez-vous qu’il soit bien fourni et équilibré. Et puis même s’il n’est pas parfait, ce n’est pas bien grave. Vous allez l’embellir et ce sera le roi de votre salon. 

* Photo - Lovely Ness *