Shopping déco : objectif salon, les achats plaisirs sans exploser le budget
Téléportation dans les Alpes !
Nous reprendrons quand nous le pourrons et au rythme de limaces nos travaux. C'est un peu comme un gros mot quand je dis ce mot. Travaux. Oui, ça fait bizarre car ceux qui nous connaissent savent combien nos capacités sont limitées. N'empêche qu'on est capable de faire certaines choses. Pas beaucoup, mais assez pour limiter les frais.
Ah ça aussi, c'est un gros mot. Frais. Tout chiffre vite quand on s'attaque à la moindre rénovation. Hormis l'huile de coude, tout coûte. Rien que le scotch de masquage, les bâches de protection, les gants ...
Mais bon, on n'a rien sans rien. - rires -
Nous avons fait appel cette fois-ci à un artisan en février, pour autant nous serons contraints de reprendre la main. On finira les vacances d'été en beauté avec la satisfaction d'avoir terminé une pièce. Enfin !
Même si dans les faits, il y a toujours un élément qui vient rallonger le délai prévu ... comme chez tout le monde, non ?
J'ai eu largement le temps de faire des repérages en ligne, en magasin, faire des montages photos, demander des échantillons, confirmer ou changer mes choix. Parce que oui, j'ai carte blanche. #achatdelapaixsociale
Ce large temps de réflexion permet de ne pas acheter dans la précipitation un élément qui me sort des yeux au bout de 3 mois. C'est toutefois frustrant, car attendre c'est aussi prendre le risque que l'article ne soit plus vendu.
Ne pas avoir un budget extensible, c'est devoir faire immanquablement des arbitrages. Je ne vous apprends rien. - rires -
Mais quinze ans après nos travaux à Marseille, nous savons que nous ne referons plus les mêmes mauvais choix.
Ah, le fameux dicton populaire : si jeunesse savait, si vieillesse pouvait. - rires -
Dans les faits, ça nous donne des choix de raison.
Un renoncement seulement ! Adieu canapé en velours sur lequel personne n'aurait eu le droit de poser ses fesses sans que je ne sois aux aguets. Au prix du dit-canapé, on peut se permettre de payer tout le reste de la déco. Et encore je suis large car je m'y connais en bonnes affaires, je sais profiter des bons plans sans rogner sur mes exigences. Ou alors je compense avec une pièce forte et je limite ailleurs, bref je trouve le moyen d'équilibrer les dépenses.
Petite consolation, le velours sera tout de même présent mais via un plaid.
La difficulté de cette pièce ne vous sauterait pas aux yeux. Il s'agit du salon dans lequel j'ai passé un nombre incalculable d'heures puisque c'était chez mes grands-parents. Et ce n'est pas un home staging qui changera les choses, ça restera toujours chez mes grands-parents. Ce n'est donc pas un terrain neutre. Pour autant je suis bien obligée de mettre la déco à mon goût. Je fais aussi avec l'existant, non pas comme avec un boulet au pied, mais j'adapte pour que ce ne soit pas le choc des styles.
Je m'attache donc à concilier la base et mes envies. J'ai largement de quoi m'inspirer sur Pinterest et sur Planète-Déco pour trouver des éléments qui vont nous accompagner plusieurs années.
Au fil des semaines et des occasions, j'ai déjà acquis une partie de la déco et surtout la certitude que les murs blancs m'ennuient profondément. Alors, je fais appel au papier peint !
J'avais jeté mon dévolu sur ce modèle qui a un énorme potentiel. Je me voyais bien dans le canapé à boire un chocolat chaud. - rires -
Je le garde en tête pour ailleurs parce que je lui trouve un énorme potentiel.
Et voici le challenger qui l'emporte !
Comme dans la chambre fleurie de notre fille, le papier peint romantique et intemporel est un élément capital de la déco. Impossible de le louper ! Très présent et contrastant avec les murs blancs, il attirera l'oeil et soulignera les corniches et les plinthes blanches (peintes religieusement par Monsieur). J'adore le rendu mat, encore plus sur une couleur sombre, je suis servie avec ce modèle. Les oiseaux aux reflets dorés viendront animer ce pan de mur (nul doute que je trouverai un vase ou une déco avec un liseré doré). C'est le dernier atelier bricolage de cette pièce qui occupera notre prochaines vacances !
Autre pièce forte en noir, la suspension Vertigo qui attend sagement dans son carton (et surtout depuis 2011 dans ma tête, il était temps !). C'est un modèle d'exposition et ça change tout sur la facture. Et oui, c'est une combine !
Le tapis vous l'avez déjà vu. Ce n'est pas un tapis barbère en laine, mais pour recouvrir l'actuel parquet abîmé, il faisait bien la blague. Pour avoir déjà eu un vrai tapis en laine, plus jamais. Etre esclave d'un tapis, j'ai donné !
Le guéridon et le canapé sont les jumeaux de ceux que nous avons à Marseille. On ne s'aventure pas trop. - riiires -
Hasard des promos, avant le confinement, j'ai commandé et reçu le meuble télé qui n'en aura que le nom car la boîte à images n'est pas souhaitée pour le moment dans le salon (ni ailleurs).
Il ne nous restera qu'à trouver aux soldes d'été la table basse qui ne doit pas être fragile car elle va subir bon nombre de parties de jeux de société et goûters (et risque parfois de servir de repose-pieds).
Ensuite, on se penchera sur une autre pièce, et comme d'habitude le papier peint sera la pièce forte autour de laquelle gravitera la déco. Et j'ai déjà une idée ! Pour changer, encore des fleurs et des oiseaux. C'est grave Docteur ?